Né en 1932 À Ghilarza, un petit village situé au centre de la Sardaigne.
Son père, Giovannantonio et sa mère Mariangela, animés d'une foi profonde, l'éduquent
dans le respect de valeurs qui contribueront à affiner son esprit et sa sensibilité. Manoeuvre en maçonnerie, Fellicu a toujours eu une véritable passion pour la sculpture mais c'est seulement à l'âge de 50 ans et alors qu'il s'achemine vers la retraite, qu'il entreprend son voyage à travers l'art.
Il débute modestement en réalisant des bustes et s'aperçoit rapidement que son travail rencontre l'approbation d'artistes reconnus. Il s'attaque alors à la reproduction de Piétas et d'autres plus complexes mais ses sculptures sont le plus souvent d'inspiration religieuse.
Autodidacte, il prend modèle sur les oeuvres de sculpteurs nés dans l'île et dont la mémoire
reste très vivante ainsi que sur les monuments anciens disséminés ici et là dans le village.
Sa renommée devient bien réelle, au point qu'un jour, ayant entendu parler de l'existence d'un "Facteur Cheval" en Sardaigne, l'un des plus grand critique d'art d'Italie, Vittorio Sgarbi, se rend inopinément à Ghilarza pour examiner de plus près les sculptures de Fellicu Fadda.
L'artiste étant absent et l'atelier à ciel ouvert fermé, ne voulant pas repartir sans avoir vu les oeuvres, il finit par escalader le portail pour y pénétrer.
Il faut savoir aussi que le célèbre sculpteur à la renommée mondiale, Pinuccio Sciola, qui habite le village de San Sperate, une commune proche de celle où réside Fellicu Fadda, lui rend visite régulièrement pour des séances d'échanges artistiques et de palabres amicales.
Fellicu Fadda,
Cet ancien maçon a découvert sa passion pour la sculpture de la pierre seulement à l’age de 50 ans. Il a aujourd’hui 72 ans. Autodidacte, il s’est formé tout seul, suivant son inspiration, profondément religieuse. Il a, en quelques années, incroyablement transformé son jardin en une exposition quasi Surréaliste, les Evangiles à ciel ouvert.
Unique occupant de l'île l'Asinara, une île situe au nord-ouest de la Sardaigne qu'il partage avec une espèce unique d'ânes blancs vivant à l'état sauvage, ancien agent pénitencier et artiste autodidacte, Enrico Mereu sculpte les bois flottés apportés par la mer, faisant naître de saisissantes compositions.
Après avoir passé trente ans sur l'île de l'Asinara, appelée aussi "L'Ile aux ânes blancs", en tant qu'agent pénitencier dans une prison de haute sécurité aujourd'hui désaffectée, Enrico Mereu vit toujours sur l'île avec sa femme et ses enfants et se consacre à son activité d'artiste sculpteur.
Héritière d’une tradition ancienne, Chiara Vigo vit sur cette petite-Île au Sud-Ouest de la Sardaigne, elle est la dernière au monde à exécuter selon la technique qu’employaient les Phéniciens, il y a plus de trois mille ans, des motifs tissés à partir d’une «soie» issue du fond de la mer et qui a probablement donné naissance à la légende de la « Toison d'Or ».
Monteluna Productions 43 rue Baron le Roy 75012 Paris Conformément à la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et libertés, vous bénéficiez d'un droit d'opposition, d'accès, de modification, de rectification et de suppression de vos données à caractère personnel. Ces informations sont déclarées à la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL).
Né en 1932 À Ghilarza, un petit village situé au centre de la Sardaigne.
Enrico Mereu,
Après avoir passé trente ans sur l'île de l'Asinara, appelée aussi "L'Ile aux ânes blancs", en tant qu'agent pénitencier dans une prison de haute sécurité aujourd'hui désaffectée, Enrico Mereu 
Chiara Vigo,
